Fumer tue, Vivre aussi!.


La santé, c'est vital.

On vit de plus en plus vieux et pourtant, si l'on en croit, toutes les mises en garde, alertes et autres scandales avérés (ou non), notre santé est en piteux état!.
En quelques exemples rapides, on relèvera que fumer tue tout comme boire sans modération nuit à la santé hormis les productions nationales bien sûr!.
Le vin pour la France finirait même par devenir bénéfique quand pour d'autres nations, c'est plus la bière ou d'autres alcools qui renferment des propriétés curatives insoupçonnées.
Par parenthèse, l'alcool dans certaines religions étant interdit, on peut parfois se poser des questions sur la répétition de ces campagnes de "prévention".
Constatons que les campagnes de santé sont centrées sur des produits ou attitudes de masse qui, au passage non négligeable, permettent de récolter taxes et amendes auprès des cons-ommateurs et industries jugées coupables de causer des centaines de morts mais autorisées par la puissance publique à fonctionner, produire, vendre et à maintenir un niveau d'emploi suffisant en ces temps de chômage important...

Finalement, on en viendrait à se demander si la prise de drogue n'est pas épargnée du fait de son illégalité d'une part et que d'autre part, il est tout de même assez difficile de taxer et de condamner des entreprises invisibles qui, par définition, sont illégales, souterraines et dont les vendeurs sont pour la plupart des individus "marginaux" chômeurs, jeunes souvent violents et armés.
Et tant pis, si pour maintenir un semblant de tranquilité dans ces quartiers dits "défavorisés", il faut, populisme électoraliste oblige, fermer les yeux sinon de la police au moins ceux de la justice qui, de toute manière, ne dispose pas d'assez de places, aux frais des contribuables, au sein des différents lieux de détention surtout lorsqu'il s'agit, comme souvent, de mineurs illégaux ou non.
Déjà la pernicieuse distinction appliquée à la drogue dite dure vis à vis d'une drogue supposée douce presque festive et branchée met en lumière l'irresponsabilité politique de certains qui, avec tout le cynisme politicien dont ils font preuve, savent pertinemment bien que jamais, ils ne sauront endiguer ces trafics et consommations et que, dès lors, pourquoi ne pas en faire bénéficier l'Etat via une taxe, comme si la drogue "clandestine" nuisait plus à la santé des individus que si celle-ci était dealée par les pouvoirs publics!.

Médoc ou médocs?

Comme relevé plus haut, la consommation d'alcool est soumise à tellement de restrictions, d'amendes que le simple fait d'y goûter représente un danger, une contrevenance à certaine(s) religion(s), une transgression qui ôte tout plaisir et convivialité.
Alors que si vous consommez des médicaments, votre éventail de prescription de taille, couleur et goût des petites pilules est presque infini.
Finalement, si vous ne prenez pas de médocs, êtes-vous certain de ne pas être un dangereux marginal ou une personne atteinte de la maladie d'Alzheimer!.

Conclusion

Une bonne nouvelle?!.
Dans cette époque formidable, vous vivrez très vieux mais la mauvaise nouvelle, c'est que vous vivrez très mal.
Interdit de: fumer, boire, copuler à tout va (sans préservatif...et encore), rouler à plus de 100 à l'heure, utiliser son smartphone (cancer du cerveau), travailler sur PC (myopie accentuée)...manger (OGM, Fast-Food), on en passe et pas des meilleures!.

Finalement, pas étonnant que certains passent leur temps à prier en considérant qu'au paradis, ils pourront (enfin) vivre et satisfaire toutes leurs envies qui n'étaient que péchés sur Terre!.