Electeurs italiens: L'UE leur impose sa loi

 via Alerte à l’italienne : cette erreur historique majeure que les Européens "raisonnables" sont en train de commettre | Atlantico.fr


Commentaire de L' INFOTOX (Actus-Médias):


L'omnipotente technocratie made in UE a encore frappé!.


Peu lui chaut les résultats des élections (si ceux-ci ne conviennent pas à son idéologie) et toute opposition à sa volonté de maintenir sous sa tutelle politique sera qualifiée de populiste voire de fasciste.


Ceux, les vainqueurs d'élections dont les résultats sont désapprouvés par l'élite médiatico-politique se verront caricaturés, méprisés et qualifiés de bouffons idiots qui, bien entendu, ne sont gagnants que parce qu'une majorité de citoyens (pardon, d'imbéciles crédules…) se sont laissés berner par des discours simplistes…


Décidément, la politique en "cette" Europe qui rétrograde les pays membres, ex pays libres et responsables, au rang de sous-régions à peine utiles à préserver le poussif moteur franco-allemand a encore la couleur de la démocratie mais plus vraiment le goût…!.


UPDATE du 29.5.2018 (source Atlantico)


Commentaires de L' INFOTOX:


A l'origine de ce qui aurait dû faire scandale, ce qui suit:


"Les marchés vont apprendre aux Italiens à bien voter" : l'énorme embarras de la commission européenne


Le commissaire européen Günther Oettinger est plongé dans la tourmente. Dans le cadre d'une interview réalisée à Strasbourg, diffusée mardi soir sur la chaîne allemande DW, il exprimerait son mépris pour les électeurs italiens.


Ce mépris des technocrates (ir)responsables européens est tel que sans la preuve ci-dessous, on n'aurait même pas osé supposer que de telles déclarations puissent être prononcées.


A ceci et afin de tenter d'éteindre ce brûlot, J.C Juncker s'est empressé de publier un communiqué qui, néanmoins, en termes plus choisis, ne reflète pas vraiment un attachement sincère à la volonté du peuple d'un pays qui se rend compte qu'il n'est plus libre de ses seuls choix tant l'appartenance, pardon la dépendance à l'UE conditionne son existence!.


Communiqué Juncker:


"Le Président de la Commission, Jean-Claude Juncker, tient à faire part de sa conviction que le sort de l'Italie ne saurait dépendre des injonctions que pourraient lui adresser les marchés financiers. L'Italie – indépendamment des partis politiques qui demain la dirigeront – est un pays fondateur de l'Union européenne qui a énormément contribué à l'intégration européenne. Le Président est convaincu que l'Italie poursuivra son parcours européen. La Commission est prête à coopérer avec l'Italie de manière responsable et dans un respect mutuel. L'Italie mérite respect".


D'aucuns (médias et politiciens) font encore semblant de constater le fossé entre ceux qui s'attribuent pompeusement l'étiquette d'élite et ceux qu'ils qualifient avec condescendance de peuple… comme si, ultime mépris, peuple et élite était antinomique, incompatible.


Se prétendre "élite" et raisonner ainsi relève plus de simplisme que d'intelligence car, faut-il vraiment leur rappeler, que, parmi ce peuple se retrouve une forte proportion de gens surdiplômés sans que ceci ne soit aussi évident parmi cette partie de l'élite qui se targue de l'être probablement par peur que cette qualité ne soit évidente, justifiée aux yeux de tous.


Poursuivant le simplisme idéologique, ils répètent partout et tout le temps que si ce fossé existe, c'est à cause des discours et slogans populistes… dont ils sont souvent eux-mêmes les principaux représentants sans même s'en apercevoir!.