Harcèlement en ligne: des "stars" s'en disent les victimes...


So what...!.
Personne ne pourrait expliquer à ces gens "harcelés", si heureux le temps de s'en servir pour s'y faire connaître, que sur les réseaux sociaux, contrairement à la vie réelle, chacun(e) qui se dit "victime" peut utiliser les options: supprimer, bloquer ou signaler.
Mais vu que la mode "politiquement correcte" est au dénigrement des réseaux sociaux dont le "défaut" est, par son accès libre à tous/toutes, de faire perdre de l'audience et donc des revenus...aux médias, de rappeler aux politiciens leurs promesses, leurs mensonges, ces "people" ne sont que de ridicules alibis bien utiles pour les "élites" afin de contrôler ces réseaux sociaux.
Pour le bien du "peuple", évidemment...!.
Tout réseau social s'est finalement plié à cette censure au nom du "Politiquement correct", de la "pensée unique" qui se veut soumise aux seuls intérêts des pouvoirs politiques "démocratiques" voire des pouvoirs médiatiques soucieux de revenir au bon vieux temps où seule leur parole était vérité incontestée car, faute de réseaux sociaux, incontestable...
D'où la volonté de ces "élites" de brider, de contrôler ces réseaux sociaux (trop libres) pour le bien du "peuple", évidemment. Plus généralement...

La haine en ligne, la culpabilité des réseaux sociaux...
Pour éviter de voir la réalité d'une société soumise aux conflits entre communautés notamment religieuses "musulmanes" mais qui touchent bien d'autres sujets et populations que les pouvoirs politiques, médiatiques ont laissé se développer par électoralisme démagogique, ils ont compris que pour se déresponsabiliser il fallait trouver un bouc émissaire!.
Et ce sont les réseaux sociaux qu'ils choisissent d'accuser de tous les maux...
Evidemment, quand des pouvoirs font croire à la société du "vivre ensemble" mais que tous les citoyens peuvent accéder à l'information non filtrée, cela contrarie leur propagande de Bisounours...
A les entendre, la haine n'existait pas ou peu avant les réseaux alors qu'en fait, ce n'est que la diffusion massive de ces faits, sur des supports (encore) libres qui fait la différence!.
Les réseaux sociaux sont, pour le pouvoir politique (par essence jamais responsable de rien... hormis de rares succès, évidemment), devenus les responsables de tous les maux de nos sociétés.
Que ce soit le racisme, la violence, les émeutes, la dépression, le harcèlement..., tout y passe!.
Au fait, pour ceux/celles qui se disent victimes de harcèlement.
Autant dans la vie réelle, vous aurez du mal à vous défaire, à vous protéger de vos (mauvais) choix d'ami(e)s... tant qu'ils/elles seront en vie...!.
Autant sur les réseaux sociaux, si vous n'êtes pas coupables de légèreté dans ce que vous publiez... vous-mêmes, il vous suffit d'appuyer sur la touche "supprimer" ou "bloquer" pour vous débarrasser définitivement de tout profil qui viendrait à vous tutoyer sans votre approbation, à vous insulter!.
Alors, au lieu de vous plaindre, de pleurnicher, de surtout servir la cause des "élites" des pouvoirs médiatico-politiques exaspérées par la liberté d'expression mais surtout la liberté d'opinions (sensées ou non) offerte au "peuple" sur ces réseaux, soyez... responsables, réfléchissez et agissez!. L'infectiologue K. Lacombe dénonce le cyberharcèlement. LCI 24/12/2020
Apparemment, la liberté d'expression (sensée ou non!) sur les réseaux sociaux posent question sur la connaissance exacte du monde dans lequel on vit... à croire que certain(e)s s'aperçoivent que tout le monde il est pas beau, il est pas gentil et que ce qui apparait (enfin...) publiquement dérange ceux/celles qui refusaient de voir cette réalité et pensaient vivre dans ce bienheureux sentiment de paix et d'amour... voire d'intelligence collective, universelle!.
Alors, comme ces seins que "certains" ne sauraient plus voir, d'autres, y compris par intérêt politico-médiatique, veulent brider, contrôler la parole sur les réseaux afin de pouvoir à nouveau, hypocritement, croire que le monde bienveillant du vivre ensemble, non communautarisé, existe.
Au final, sans ces réseaux sociaux publics dont profils/pseudos ne sont pas anonymes mais traçables et sanctionnables, ils auront la haine bien cachée sur le Darknet.
Et puis, chers effarouché(e)s, rien ne vous empêche de supprimer, bloquer, signaler tout commentaire insultant.

Article datant du 15/6/2021 à lire: Réseaux Sociaux, coupables utiles!