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Affichage des articles associés au libellé POLITIQUE: EUROPE

L'union fait la force... des faibles!.

DEVISES NATIONALES (Belgique, Bulgarie, Angola, Haïti) Cette devise ou formule passe-partout est utilisée pour mettre en avant des alliances tant citoyennes que commerciales/industrielles ou politiques. Un rapide examen de la situation belge dont cette devise est souvent citée en exemple devrait cependant nous alarmer quant à la force supposée issue de l'union tant il est évident qu'au travers des sempiternelles et surréalistes querelles linguistiques voire de sa répartition proche de la partition de ses régions et communautés qui, malgré un affichage fédéral, sont indignes d'un fonctionnement responsable attendu d'un Etat européen. Article: Belgique: Stop ou encore... une fois!. EUROPE Ce "surréalisme belge" allait-il contaminer, gangréner les autres pays européens, jusqu'il y a peu libres et indépendants?. La construction européenne type Tour de Babel aura réussi à imposer, en dépit de la volonté populaire lors de rares référendums aux résultat

Brexit: Des lendemains qui chantent.

COMPILATION des prévisions (certitudes) alarmistes . Patrick Artus, chef économiste de Natixis, était ce mercredi 22 juin 2016 l’invité de la matinale des Echos. A 24h du vote sur le maintien du Royaume-Uni dans l’Union européenne, Patrick Artus dépeint l’Europe de l’après Brexit . En cas de victoire des partisans du « Leave », l’économiste prédit un effondrement des marchés financiers à court terme et l’arrêt des investissements au Royaume-Uni pendant plusieurs années. . Une décision des Britanniques de sortir de l’UE entraînerait « une période prolongée d’incertitude qui pourrait peser sur la confiance et l’investissement », et conduire à une récession, estime le Fonds monétaire international. Une sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne aurait un impact « négatif et important » sur l'économie britannique qui pourrait, au pire, tomber en récession l'année prochaine, a indiqué vendredi le FMI à moins d'une semaine du référendum sur le Brexit. Dans leur e

Grexit, Brexit, Eurexit...

Démocratie, vous avez dit: Démocratie?. La faillite annoncée, inéluctable d'une Europe communautaire, politique en perte totale de crédibilité, d'efficacité et de visibilité au plan international. Les Etats qui la composent se veulent encore et toujours les chantres et souvent les donneurs de leçons de la démocratie qui est, en principe, représentée par ses élus, une "élite" qui se dit au service et oeuvrer pour le bien de la population. A l'évidence, en regard d'autres pays, continents, les libertés et le bien-être général y sont nettement mieux protégées même si cette garantie repose essentiellement sur des élections nationales largement verrouillées et dévolues au système particratique duquel se dégage le sentiment, la réalité d'un choix pré-établi, convenu entre partis à l'idéologie soit de droite soit de gauche représentée au fil des décennies par un panel de politiciens plus ou moins rapidement interchangeables et qui font

La fin du mirage européen

Au fait, c'est quoi: Etre européen?. Les idéologues et politiciens pro-européens, pour justifier la construction et la poursuite de l'intégration européenne, nous parlent, larme à l'oeil, d'un sentiment européen supra-national comme d'une appartenance à une seule nation bien plus identifiable que les seuls contours d'une région faite de populations censés partagés les mêmes aspirations aux valeurs essentielles des droits et devoirs tant individuels que collectifs. Et avec toute la force de conviction politicienne que nos "élites" savent déployer, surtout si cela peut servir les financements attachés au poids de leur idéologie particratique voire leurs intérêts personnels, ces derniers mettent en avant les arguments, à leurs yeux, uniquement dûs à la construction européenne en termes de protection des citoyens face aux guerres nationalistes qui, jusqu'alors minaient ce continent sans oublier la sauvegarde du niveau de vie issue de l

Pouvoirs publics contre Libertés privées.

La politique et les travaux publics. En matière de travaux publics, l'Etat et ses différents pouvoirs arrivent rarement à terminer un chantier tant dans les délais prévus que dans l'enveloppe budgétée. Sans parler des chantiers, qui débutent mais ne se finissent jamais ou qui enfin terminés sont obsolètes, inutilisables ou simplement plus affectables, bien connus sous le nom des GTI ou grands travaux inutiles: (hopitaux, aéroports, centres administratifs, bureaux de police, casernes de pompiers...). Ces dépassements de budgets et de délais quoique très souvent systématiques n'interpellent pas vraiment les citoyens, pourtant principaux contributeurs!, sur de possibles, probables et discrets "petits arrangements" entre amis séduits par un bonus facile car garantis par une totale absence de contrôle interne couplée à une communication externe bien verrouillée. A l'inverse, une conduite des affaires privées calquée sur le mode public serait

La Wallonie expliquée aux nuls...!.

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. . . . . Belgique: Ceci n'est plus un pays!. Tour de Babel...gique. Il était, une fois!, au sein de l'Europe vieillissante, un Royaume dessiné et décrété en 1830 par les puissances européennes pour d'obscures raisons géopolitiques et qui depuis ne cesse de se déchirer entre ses deux communautés linguistiques principales, les wallons francophones et les flamands néerlandophones. Comme déjà, à ce stade, la majorité des étrangers trouvent ce débat surréaliste voire ridicule, notons néanmoins qu'en d'autres lieux et circonstances, des conflits ont opposés très souvent des ethnies de par le monde et que malheureusement pour les victimes de ceux-ci, les protagonistes ne disposaient pas du légendaire sens de l'auto-dérision pacifique des belges... Evidemment, ces sempiternelles querelles ne peuvent se tenir que dans un pays dont le niveau de vie permet aux hommes et femmes politiques de créer des structures multiples et coûteuses en déniant toute f